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Hors-Série Concours de la S
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Vient de paraître Femmes d’Afrique et émancipation. Entre normes sociales contraignantes et nouveaux possibles sous la direction de Muriel
Gomez-Perez chez KarthalaLe 7 mai 2019 à 11h45
Vient de paraître Femmes d’Afrique et émancipation. Entre normes sociales contraignantes et nouveaux possibles sous la direction de Muriel
Gomez-Perez chez Karthala, coll. "Hommes et sociétés", 2018, 470 p. ISBN : 9782811119355 Prix : 30 €.
"Face aux changements politiques (colonisation, décolonisation, autoritarismes et démocratisation), socioéconomiques (libéralisation, mondialisation des échanges, flexibilité et précarisation de l’emploi, bouleversements au sein de la famille) et religieux (montée de la piété, médiatisation du religieux, émergence de nouvelles autorités) en Afrique, les femmes ont inlassablement et profondément posé leur marque.
En écho à ces différents contextes, ce livre s’inscrit dans plusieurs tendances de la recherche : faire état de l’hétérogénéité du militantisme politique féminin et des recompositions des rapports de genre au cours du XXe siècle ; revisiter les concepts d’empowerment et de religious agency et démontrer leur efficience et leurs limites sur le terrain empirique ; analyser les conditions dans lesquelles s’inscrivent les migrations internationales des femmes et leurs effets sur leur statut, leur vie de couple, leur vie familiale et leurs aspirations.
La perspective de cet ouvrage est de faire état de processus émancipatoires distincts et ambivalents, voire contradictoires de femmes non seulement à travers leurs luttes et prises de position politiques ainsi qu’à travers leurs choix d’activités professionnelles, mais aussi en fonction du rapport au corps, des hiérarchies et normes sociales contraignantes, des référents culturels souvent normatifs et des nouvelles opportunités existantes et ce, à différentes échelles (couple, famille, sphère publique, scènes locale, nationale, sous régionale et internationale, zone urbaine/rurale). Aussi, il s’agit d’analyser les forces et limites de ces processus émancipatoires, leurs avancées et leurs reflux pour montrer en quoi ils sont en cours de construction, fragiles et lents. Cette lecture nuancée de ces dynamiques a été menée selon une optique pluridisciplinaire et un souci de mener des recherches empiriques dans plusieurs pays du continent."
MurielGomez-Perez est professeure au département des sciences historiques de l’Université Laval (Québec, Canada), membre du laboratoire du CESSMA de l’Université Paris Diderot-Paris 7 et du CIRAM de l’Université Laval. Elle a codirigé, L’Afrique des générations. Entre tensions et négociations (Karthala, 2012).
Ont également contribué à cet ouvrage : Léa Barreau, Emmanuelle Bouilly, Sylvia Bruzzi, Ilaria Buscaglia, Catherine Coquery-Vidrovitch, Brandon County, Marloes Janson, Laurence Marfaing, Adeline Masquelier, Nathalie Mondain, Céline Pauthier, Ophélie Rillon, Marie Rodet, Maud Saint-Lary, Julia Vorhölter. -
Vient de paraître Afro-Catholic Festivals in the Americas. Performance, Representation, and the Making of Black Atlantic Tradition sous la direction de Cécile
Fromont aux Penn State University PressLe 7 mai 2019 à 08h02
Vient de paraître Afro-Catholic Festivals in the Americas. Performance, Representation, and the Making of Black Atlantic Tradition sous la direction de Cécile
Fromont aux Penn State University Press, coll. "Africana Religions", 2019, 224 p. ISBN : 978-0-271-08329-2 Prix : 89,95 $.
"This volume demonstrates how, from the beginning of the Atlantic slave trade, enslaved and free Africans in the Americas used Catholicism and Christian-derived celebrations as spaces for autonomous cultural expression, social organization, and political empowerment. Their appropriation of Catholic-based celebrations calls into question the long-held idea that Africans and their descendants in the diaspora either resignedly accepted Christianity or else transformed its religious rituals into syncretic objects of stealthy resistance.
In cities and on plantations throughout the Americas, men and women of African birth or descent staged mock battles against heathens, elected Christian queens and kings with great pageantry, and gathered in festive rituals to express their devotion to saints. Many of these traditions endure in the twenty-first century. The contributors to this volume draw connections between these Afro-Catholic festivals—observed from North America to South America and the Caribbean—and their precedents in the early modern kingdom of Kongo, one of the main regions of origin of men and women enslaved in the New World. This transatlantic perspective offers a useful counterpoint to the Yoruba focus prevailing in studies of African diasporic religions and reveals how Kongo-infused Catholicism constituted a site for the formation of black Atlantic tradition.
Afro-Catholic Festivals in the Americas complicates the notion of Christianity as a European tool of domination and enhances our comprehension of the formation and trajectory of black religious culture on the American continent. It will be of great interest to scholars of African diaspora, religion, Christianity, and performance."
CécileFromont is Associate Professor of History of Art at Yale University. She is also the author of the award-winning book The Art of Conversion : Christian Visual Culture in the Kingdom of Kongo.
In addition to the editor, the contributors include Kevin Dawson, Jeroen Dewulf, Junia Ferreira Furtado, Michael Iyanaga, Dianne M. Stewart, Miguel A. Valerio, and Lisa Voigt. -
Vient de paraître Enjeux postcoloniaux de l’enfance et de la jeunesse. Espace francophone (1945-1980) sous la direction d’Yves
Denéchère chez Peter LangLe 6 mai 2019 à 20h48
Vient de paraître Enjeux postcoloniaux de l’enfance et de la jeunesse. Espace francophone (1945-1980) sous la direction d’Yves
Denéchère chez Peter Lang, coll. "Outre-Mers", 2019, 248 p. ISBN : 978-2-8076-0915-0 Prix : 38 € (existe aussi en version électronique).
Cet ouvrage correspond aux Actes du Colloque international bilingue (anglais-français) qui se tiendra les 27-28 juin 2018 à l’Université d’Angers.
"Si la jeunesse a joué un rôle important dans la construction des empires coloniaux, elle est également un enjeu essentiel des décolonisations et de leurs suites. Au second XXe siècle, les processus d’émancipation des peuples colonisés posent en effet avec force la question sociale et politique de l’enfance et de la jeunesse en contexte colonial et postcolonial, dans les pays devenus indépendants comme chez les anciens colonisateurs. L’intérêt de cet ouvrage est de mettre en avant les biopolitiques spécifiques aux enfants et aux jeunes qui ont émergé dans un ensemble complexe de questions politiques et diplomatiques, économiques et sociales, démographiques et populationnistes, philosophiques et religieuses. À l’instar des Colonial and Postcolonial Studies, il s’agit d’interroger les cultures postcoloniales et les articulations entre décolonisation et colonisation, notamment les prolongements de celle-ci dans celle-là. Pendant la décolonisation des empires français et belge et la construction de nouveaux États, les enfants et les jeunes ont été sujets de politiques voulues ou soutenues par des biopouvoirs et mises en œuvre par des protagonistes divers : armées, associations, humanitaires, colonialistes, nouvelles élites, militants, simples citoyens. Les archives publiques qui reflètent les différentes politiques menées ainsi que les sources écrites et orales d’associations ou d’autres organisations permettent de cerner les rôles d’acteurs non-étatiques. Les paroles, plus ou moins critiques, de celles et de ceux qui sont les premières personnes concernées par cette histoire – c’est-à-dire les enfants et les jeunes eux-mêmes – sont bien entendu également mobilisées."
YvesDenéchère (https://twitter.com/YDenechere) est Professeur d’histoire contemporaine à l’Université d’Angers. Il dirige le laboratoire de recherche TEMOS (CNRS FRE 2015) et le programme de recherche EnJeu[x] Enfance et Jeunesse. Ses travaux portent notamment sur la construction subjective des enfants déplacés à l’échelle transnationale.
Nous tenons à remercier très chaleureusement Yves Denéchère pour nous avoir communiqué le sommaire précieux de cet ouvrage ! -
Appel à contributions pour le dossier "Enfances (dé)colonisées" de la Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière »
Le 6 mai 2019 à 20h15
Appel à contributions pour le dossier "Enfances (dé)colonisées"
de la Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière »
Numéro thématique 22 – 2020
Appel à contribution à adresser avant le 30 juin 2019
"L’historiographie croisant les thématiques des Childhood and Youth Studies et des Colonial/Postcolonial Studies a produit depuis plusieurs années des études qui démontrent l’importance de la place et du rôle des enfants et des jeunes dans les constructions impériales. En 2012, la Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » (RHEI) a participé au développement de ce champ en consacrant un numéro aux « Enfances déplacées en situation coloniale » (n°14, 2012). Elle entend poursuivre l’exploration de nouvelles pistes de recherche en consacrant son numéro 22 (2020) à la protection de l’enfance en situations coloniales et postcoloniales."
Coordination du numéro :
– Yves Denéchère, professeur d’histoire contemporaine, Université d’Angers, directeur du programme pluridisciplinaire EnJeu[x] Enfance et Jeunesse.
– Violaine Tisseau, chargée de recherche au CNRS, Institut des Mondes africains.
La Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » est spécialisée dans le champ de l’enfance et de la jeunesse marginales ou marginalisées. Elle s’intéresse à l’enfant de justice (délinquant), mais aussi à l’enfant victime, à l’orphelin, au vagabond, ainsi qu’aux politiques législatives et institutionnelles et aux pratiques pédagogiques mises en œuvre pour prendre en charge cette jeunesse et cette enfance » irrégulières » en France et hors de France. Revue scientifique à comité de lecture, elle est le fruit d’une collaboration entre l’École nationale de protection judiciaire de la jeunesse (ENPJJ) et l’Association pour l’histoire de la protection judiciaire des mineurs (AHPJM). La Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » cherche aussi à établir des liens entre la recherche historique et le milieu professionnel de l’éducation spécialisée.
Les propositions de contribution, en français ou en anglais, d’une page maximum, doivent préciser les sources mobilisées et la méthodologie utilisée. Elles sont à adresser avant le 30 juin 2019, accompagnées d’un court CV, aux adresses suivantes : yves.denechere@univ-angers.fr et tisseau@mmsh.univ-aix.fr
Sélection des propositions : début juillet 2019.
Remise des articles (environ 45 000 signes) en octobre 2019, et un retour des évaluations en décembre 2019. Allers et retours auteurs, coordinateurs du numéro : printemps 2020.
Parution du n°22 de la RHEI : automne 2020.
Source de l’information :
http://temos.cnrs.fr/actualite/enfances-decolonisees-appel-a-contributions/
Nous tenons à remercier chaleureusement Yves Denéchère (https://twitter.com/YDenechere) pour nous avoir communiqué cette précieuse information via Twitter :
https://twitter.com/TEMOS_histoire/status/1124211625236598785 -
Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions – Mémorial de l’abolition de l’esclavage (Nantes, 10 mai & du 9 au 12 mai 2019)
Le 6 mai 2019 à 19h40
Mémorial de l’abolition de l’esclavage – Nantes
Journée nationale des mémoires de la traite,
de l’esclavage et de leurs abolitions 2019
Du 9 au 12 mai 2019
Chaque année, le 10 Mai, la Journée Nationale des mémoires de la traite, de
l’esclavage et de leurs abolitions, marque un moment fort à Nantes, où se
mêlent émotion, recueillement et réflexion. Un programme de rencontres, visites, projections et animations rythme ces 4 jours.
Source de l’information :
http://memorial.nantes.fr/2019/04/23/journee-nationale-des-memoires-de-la-traite-de-lesclavage-et-de-leurs-abolitions-2019/
Information précieuse aimablement communiquée via Twitter par Gildas Salaün :
https://twitter.com/GildasSalaun/status/1125326689469386752 -
Vient de paraître L’art et la race. L’Africain (tout) contre l’œil des Lumières d’Anne
Lafont aux Presses du RéelLe 6 mai 2019 à 19h28
Vient de paraître L’art et la race. L’Africain (tout) contre l’œil des Lumières d’Anne
Lafont aux Presses du Réel, coll. "Œuvres en sociétés", 2019, 467 p. ISBN : 978-2-37896-016-2 Prix : 32 €.
"L’historienne de l’art Anne Lafont livre une étude inédite sur les relations étroites et paradoxales de l’art et de la race à l’époque des Lumières. Une nouvelle voix dans les travaux actuels sur les questions de race, d’art, d’images et de colonies.
En se fondant sur un corpus d’œuvres d’art connues et moins connues, l’auteure revisite les Beaux-Arts au XVIIIe siècle sous l’angle de la représentation des Noirs, figures qui, non seulement, articulent savoirs anthropologiques et expériences esthétiques, mais aussi histoire du luxe métropolitain et histoire de l’esclavage colonial. Ce livre est fondé sur une recherche de plus de dix ans sur les formes qu’ont prises les figures de l’Africain et de l’Africaine dans l’art continental et colonial français d’avant l’imaginaire abolitionniste. Il couvre les cultures visuelles et artistiques qui vont de la fin du XVIIe siècle – à l’époque de Coypel, Mignard, Largillière… – quand les colonies antillaises commencèrent à percer dans le champ artistique métropolitain, au premier tiers du XIXe siècle – à l’époque de Girodet, Benoist et Léthière jusqu’à Géricault… – quand l’échec de la première abolition de l’esclavage (1802) durcit l’iconographie partisane, mettant la violence des vies dans les plantations à l’ordre du jour de la création artistique."
AnneLafont est historienne de l’art, directrice d’études à l’École des hautes études en sciences sociales. Elle a étudié au Canada et en France avant d’être pensionnaire de la Villa Médicis. Elle a été ensuite maîtresse de conférences en histoire de l’art moderne à l’université Paris-Est avant de rejoindre l’Institut national d’histoire de l’art où elle a passé dix années. Elle est élue à l’EHESS en 2017 sur un projet intitulé Histoire de l’art et créolités. Ses travaux ont porté principalement sur l’art des XVIII et XIXe siècles avec un intérêt particulier pour l’œuvre de la Révolution française et l’imagination picturale des nouveaux citoyens, les Noirs, à l’échelle des révolutions atlantiques. En parallèle, elle a initié des recherches sur la question des savoirs naturalistes et anthropologiques en lien avec les cultures visuelles du voyage, de l’expédition scientifique et du cabinet de curiosités (L’artiste savant à la conquête du monde moderne, 2010 ; 1740, L’abrégé du monde, 2012) mais aussi des travaux sur les écrits des femmes sur l’art autour de 1800 (Plumes et pinceaux. Discours de femmes sur l’art en Europe, 2012). Son travail s’oriente désormais vers l’art des Antilles françaises pendant la période coloniale et, d’une manière générale, sur les arts et les cultures de l’Atlantique noir. -
Vient de paraître L’Art de la conversion. Culture visuelle chrétienne dans le royaume du Kongo de Cécile
Fromont aux Presses du RéelLe 6 mai 2019 à 04h17
Vient de paraître L’Art de la conversion. Culture visuelle chrétienne dans le royaume du Kongo de Cécile
Fromont aux Presses du Réel, coll. "Œuvres en sociétés", 2018, 340 p. ISBN : 978-2-84066-888-6 Prix : 30 €.
L’ouvrage est la traduction, par Françoise Jaouën, de l’ouvrage The Art of Conversion : Christian Visual Culture in the Kingdom of Kongo publié en 2014 aux University of North Carolina Press (pour le Omohundro Institute of Early American History and Culture).
"Une analyse détaillée de l’émergence d’une culture visuelle chrétienne spécifique au royaume du Kongo depuis le XVIe siècle.
Entre les XVIe et XIXe siècles, dans l’ouest de l’Afrique centrale, le royaume du Kongo était un territoire cosmopolite et indépendant, pratiquant le christianisme et actif dans les réseaux commerciaux, diplomatiques et religieux du monde atlantique. À partir d’un vaste ensemble d’objets, d’images et de documents pour la plupart inédits, Cécile Fromont examine l’émergence, au tournant du XVIe siècle, d’une culture visuelle chrétienne spécifiquement kongo et retrace son évolution au cours de quatre siècles marqués par la guerre, la traite atlantique des esclaves et, enfin, au XIXe siècle, la montée du colonialisme. L’auteur livre une analyse détaillée des innovations religieuses, politiques et artistiques qui ont permis l’adoption du christianisme par le Kongo et montre que sa conversion s’est déroulée de manière dynamique sur plusieurs centaines d’années.
Les élites du royaume ont peu à peu, de manière indépendante, entremêlé pensées religieuses, formes visuelles et concepts politiques nouveaux ou anciens, d’origine locale ou étrangère, pour forger une vision chrétienne du monde inédite, évolutive et spécifiquement kongo.
Ce volume jette un nouvel éclairage sur les échanges interculturels qui se sont produits entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique latine, échanges qui ont façonné le monde au début de l’ère moderne. Il dresse ainsi le tableau de l’univers religieux, artistique et social des hommes et des femmes arrachés par l’esclavage à l’Afrique centrale et envoyés aux quatre coins du monde atlantique."
CécileFromont enseigne l’histoire de l’art à l’université Yale. -
’Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage’ dans LSD, La série documentaire (France culture, du 6 au 9 mai 2019)
Le 5 mai 2019 à 20h15
’Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage’
dans LSD, La série documentaire
de Perrine Kervran
Sur France culture
Du 6 au 9 mai 2019, de 17h03 à 18 heures
"Documenter toutes les expériences de la vie, des cultures et des savoirs. Chaque semaine, un grand thème en quatre épisodes, autonomes et complémentaires. En ce moment, LSD, La Série Documentaire est en partenariat avec Tënk, la plateforme du documentaire d’auteur."
- Lundi 6 mai 2019 : Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage (1/4)
Au nom du sucre, crimes et profits
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/les-antilles-francaises-enchainees-a-lesclavage-14-au-nom-du-sucre-crimes-et-profits
Avec Matthieu Dussauge, conservateur du musée Schoelcher à Pointe-à-Pitre ; Frédéric Régent, historien, Guadeloupe ; Caroline Oudin-Bastide, historienne, Paris ; René Bélénus, historien, Guadeloupe et Dominique Rogers, historienne, Martinique.
Un documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisé par Diphy Mariani. Avec la collaboration d’Annelise Signoret
- Mardi 7 mai 2019 : Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage (2/4)
Entre deux abolitions (1794-1848) : l’émancipation des esclaves
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/les-antilles-francaises-enchainees-a-lesclavage-24-entre-deux-abolitions-1794-1848-lemancipation-des
Avec René Bélénus, historien, Guadeloupe ; Dominique Rogers, historienne, Martinique ; Erick Noël, historien, Martinique ; Gérard Lafleur, historien, Guadeloupe ; Mathieu Dussauge, conservateur du musée Schœlcher, Pointe-à-Pitre ; Caroline Oudin-Bastide, historienne, Paris.
Un documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisé par Diphy Mariani. Avec la collaboration d’Annelise Signoret
- Mercredi 8 mai 2019 : Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage (3/4)
Un passé qui ne passe pas
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/les-antilles-francaises-enchainees-a-lesclavage-34-un-passe-qui-ne-passe-pas
Avec André Lucrèce, écrivain, Martinique ; Jacqueline Jacqueray, président du Comité International du Peuple Noir, Guadeloupe ; Raymond Boutin, historien, Guadeloupe ; Frédéric Régent, historien, Guadeloupe ; Stéphanie Mulot, anthropologue, Guadeloupe ; Priscilla, étudiante, Fort-de-France ; Faniwa, militante du Comité International du Peuple Noir, Martinique ; Emmanuel Gordien, président du Comité Marche 98, Paris ; Dominique Rogers, historienne, Martinique ; Jacques Martial, président du Mémorial ACTe, Pointe-à-Pitre et Evelyne Pauline, descendante d’esclave, Guadeloupe.
Un documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisé par Diphy Mariani. Avec la collaboration d’Annelise Signoret
- Jeudi 9 mai 2019 : Les Antilles françaises enchaînées à l’esclavage (4/4)
Chlordecone, un polluant néocolonial
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/les-antilles-francaises-enchainees-a-lesclavage-44-chlordecone-un-polluant-neocolonial
Avec Justin Daniel, sociologue, Martinique ; Philippe Verdol, président de l’association Envie-Santé, Pointe-à-Pitre ; Isbert Calvados, poète, Guadeloupe ; André Lucrèce, écrivain, Martinique ; Flora, agricultrice, Martinique et un planteur de bananes de Basse-Terre, Guadeloupe.
Un documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisé par Diphy Mariani. Avec la collaboration d’Annelise Signoret
Information diffusée Twitter et à nous signalée par nos collègues des Archives nationales d’Outre-Mer-Anom que nous remercions très chaleureusement !
https://twitter.com/ANOM_officiel/status/1124991935767285762 -
Moi(s) Montaigne 2019 ’Montaigne & l’empire portugais’ avec Sanjay Subrahmanyam (Université Bordeaux Montaigne, mai 2019)
Le 5 mai 2019 à 19h40
Moi(s) Montaigne 2019
’Montaigne & l’empire portugais’
Invité du moi(s) Sanjay Subrahmanyam
Université Bordeaux Montaigne
Du 2 au 31 mai 2019
’L’Université Bordeaux Montaigne invite à aller à la rencontre de Michel de Montaigne et de son œuvre à travers le regard d’un chercheur invité pour un mois de résidence. Cette année, le Moi(s) Montaigne accueille Sanjay Subrahmanyam (Collège de France-Université de Californie à L. A.). Cet historien spécialiste de la première mondialisation, celle du temps de Montaigne, se propose de dépasser les récits nationaux au profit d’« histoires en conversation » ou « histoires connectées ».
Comment Montaigne a-t-il vu l’expansion portugaise ?
Quelles leçons tirer, pour lui, des explorations et des conquêtes, « au quartier par où les Portugalois escornèrent les Indes » ?
Quelles relations tisser avec les États et les cultures rencontrées ?
Autour de ce thème et de Sanjay Subrahmanyam, plusieurs invités offriront leur point de vue de philosophes, de littéraires, d’historiens ou d’historiens de l’art.’
Source de l’information :
https://www.u-bordeaux-montaigne.fr/fr/actualites/recherche/moi-s-montaigne-2019-avec-sanjay-subrahmanyam.html -
3e Semaine de la Mémoire (Bordeaux, 6-17 mai 2019)
Le 5 mai 2019 à 14h58
3e Semaine de la Mémoire à Bordeaux
Commémorations de l’esclavage, la traite négrière
et leurs abolitions
Du 6 au 17 mai 2019
"En France métropolitaine, le 10 mai est depuis 2006, la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. A cette occasion, la ville de Bordeaux organise la 3e Semaine de la mémoire.
L’indispensable travail de mémoire se concrétise cette année à Bordeaux par de nouveaux espaces mémoriels dévoilés pendant cette semaine : statue à l’effigie de Modeste Testas, esclave achetée au 18e siècle, square de la mémoire autour du buste de Toussaint-Louverture, Jardin de la mémoire au Jardin Botanique… autant d’actions qui visent à faire connaître et à reconnaître ce triste passé.
Hommage à Haïti
S’il est primordial de commémorer le passé, il est aussi important de se préoccuper du présent. C’est la raison pour laquelle la Ville a engagé un partenariat avec Haïti, anciennement Saint-Domingue, où de nombreux Bordelais avaient des plantations. En soutenant différents projets d’assainissement ou d’agroécologie sur l’île, Bordeaux participe à son niveau au développement et au redressement d’Haïti, en grande souffrance ces dernières années. Pendant toute la Semaine, de nombreux hommages seront rendus à Haïti et aux Haïtiens qui ont combattu pour leur liberté, aux artistes et à toutes celles et ceux qui font vivre la mémoire de l’île. "
Programme complet à consulter sur le site de la Mairie de Bordeaux :
http://www.bordeaux.fr/e134594/semaine-de-la-memoire
Source de l’information :
http://www.bordeaux.fr/e134594/semaine-de-la-memoire
http://www.musee-aquitaine-bordeaux.fr/fr/article/semaine-de-la-memoire